Véronique GENEST

En quelques mots...

Véronique GENEST

Parallèlement à sa carrière de comédienne, elle crée sa propre maison de production, Sam et Compagnie, avec son mari Meyer Bokobza. Ils y produisent des téléfilms aussi différents que Une femme si parfaite, Un transat pour huit ou encore La Dame d'Izieu.

En 2008, elle sort, chez l'éditeur Michel Lafon, son premier livre 46/38 Guerre et poids qui relate avec humour une cure de thalassothérapie à Brides-les-Bains. Elle en tire un « seule en scène », Madame Butterlight, qui traite des déboires d'une comédienne aux prises avec ses addictions à la cigarette et aux pâtisseries, qu'elle joue au Théâtre de la Gaité Montparnasse pendant quatre mois début 2009.

En 2010, elle monte une autre société de production Madame Butterlight plus axée sur le théâtre.

Elle revient au théâtre en 2012 avec la pièce Plein la vue, au Théâtre de La Michodière, où sa belle-fille Gabou Bokobza lui donne la réplique.

En janvier 2014, après 22 ans de succès et 101 épisodes, la série Julie Lescaut se termine sur un très haut score d’audience (7,5 millions de téléspectateurs).

En 2015, elle tourne La Bonne dame de Nancy où elle interprète le rôle de Simone Weber. Le téléfilm est diffusé en mai 2016 sur France 3.

En 2016, elle joue un vaudeville Portrait craché au Palais des Glaces, à Paris, aux côtés de Julien Cafaro (Philippe), Caroline Devismes (l'épouse), Gaspard Leclerc (le fils) et Maxime (le plombier) puis en tournée à travers la France, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse du 23 septembre 2016 au 28 avril 20173 avec la même distribution excepté le rôle du fils qui est interprété par Nicolas Le Guen. Elle y interprète le rôle de Marie qui a fait un enfant avec Philippe sans jamais le lui avouer. Vingt-cinq ans plus tard, elle se rend compte que Philippe est le père de la fiancée de son fils.

En images...

À la une :